Ne rien dire ? ça jamais de ma vie, qui oserait penser une chose pareille, pour nous il est toujours là et bien encré dans nos têtes tu sais nathan, l'oublier c'est la même chose pas une seule journée ne passe sans que je lui parle pas forcément sur le blog mais quand je passe devant sa photo et lorsque je lui pose un petit bouquet(puisque sa photo est sur mon petit meuble ds l'entrée) De plus ce week end j'avais les filles et hier je suis venue sur le blog les filles ont vu sa photo et Eléa me dit mamie s'est Thierry, je lui répond oui ma puce et elle a lu quelques commentaires, bien sûr je ne l'ai laissé lire que les moins poignants et elle m'a répondu j'ai envie d'écrire un petit mot donc elle a noté "gros bisous à tous" toute seule et sa soeur bien évidemment a voulu en écrire un. attend axelle je vais t'aider, que veux tu marquer ? je vous aime, Eléa répond tu ne vas pas écrire ça quand même, ah si car j'en ai envie et la grande lui a épelé les mots et paf, validé; J'ai trouvé ça génial de la part de mes deux p'tits bouts. Merci peps pour tes bisous elles étaient très fières ...
Oui marie, tu peux les embrasser bien fort ces pitchounettes....
En parlant d'enfants pour Thierry, qui ne sait pas à quel point il aime les enfants ?
Ma niéce a un souvenir important et on ne peut toujours pas lui parler de Thierry elle pleure. Elle m'a fait un dessin (qu'il ne fallait pas que je regarde) pour Thierry à mettre le jour du 01 juillet. J'ai mis.
Le dimanche qui a précédé le procés je suis allée chez truffaut acheter une plante, puis je tombée sur un ange blanc qui de sa main envoi un bisou. J'ai pris. En sortant sur le parking j'ai trouvé un nanan un tout petit nounours marron, qui sentait le BB. Je me suis dis je vais le ramener à la caisse, mais qui va vraiment savoir qu'il est là ? alors non, cette ourson sera avec l'ange présent à St Cyr... Je sais que cet enfant pleure peut etre encore son ourson, mais s'il s'avait à qui il en avait fait cadeau.....
allez raconte nous encore une fois thierry , je suis sur que t'as pleins d'histoire a nous faire partager(bien sur il y en a aussi que t'as envie de garder)!!!!!
mais surtout n'hesite pas a coucher les mots sur ce blog , si tu savais combien j'aime lire tes anecdoctes.......
Merci tes messages sont toujours plein de tendresse, tu es mimi tout plein.
raconter Thierry est superbe oui j'ai plein de choses en tête, mais cela me fait terminer souvent pas bien, je suis tellement triste quand j'écris ces moments, je suis dedans, je revis ces instants, je le vois, je le sens. Mais oui, je vais vous en raconter, cela viendra au fur et à mesure.
je me doute au combien ca fait mal de repenser a ces moments la mais aussi je pense que c bien pour la memoire du coeur , en tout cas moi ca me fais un bien fou c vrai , pour moi qui n'est pas de souvenirs precis de lui et moi (pourtant souvent je cherche) j'aime l'imaginer dans la vie avec ses proches .....a travers tes histoires....et je me dis tiens il est vraiment comme je l'imaginer
t'as enormement de chance d'avoir vecue avec lui tout ses moments et pour moi c un privilege de te connaitre (meme si ce n'est qu'un peu)
alors forcement je ressens pleins de tendresse pour toi
Rien que pour Toi, ce soir car tu dois être toute triste et inquiette.
Un jour nous allons en grande surface pour acheter des courses diverses puis comme d'hab quand nous sommes tout les deux, les serveurs commercants vendeurs, enfin viennent nous parler.
Nous passons ce jour là à la caisse, on commence à discuter avec la fille, que c'est dur un samedi, qu'il y a du monde, que c'est un métier difficile que d'avoir des gens qui boudent à longueur de journée.... Quand cette petite bonne femme dit '"surtout qu'aujourd'hui c'est mon anniversaire et je termine à 20h", je vois Thierry, il me regarde avec un sourire en coin, genre pfouaf j'ai une idée, et ses yeux qui parlent genre hé hé, il a une idée je le sais, il me laisse là et part quand il revient je suis en bout de caisse. Je l'attendais là. J'ai payé, ce sont des autres gens qui passent.
IL arrive avec des fleurs. Les offre à cette petite caissiére. Elle m'a regardé, car elle devait se demander si elle pouvait accepter devant moi, enfin c'était génant pendant quelques secondes pour elle. Mais je l'ai regardé en lui souriant et lui ai dit 'prenez cela vient du coeur' du coup tout le monde de la file d'attente lui a souhaité son bon anniversaire.
Elle était trés émue. Cette femme gardera un souvenir à vie de Thierry, elle n'oubliera jamais ce moment exceptionnel de jour J.
Thierry est ravi, il sourit, il aime faire plaisir, il est surement aussi heureux que cette femme....
Moi je le regarde, je dis t'es fada....
Alors pour te répondre.... Oui je suis contente d'avoir rencontrer Thierry et trés sincérement, je pense que nous ne rencontrons pas dans notre vie, des personnes qui sont pretes et cela en longueur de jour, de mois, d'années en étant constant, à donner de la sorte au détriment de sa personne.
Des êtres généreux, gentils, sans arriéres pensées, oui il y en a.... mais du 01 janvier au 31 décembre ? je ne suis pas sur que tout les gentils de la terre tiennent la route.
Aujourd'hui, j'ai décidé de faire des courses à pied pour plusieurs raison, mais en partie, comme un challenge par rapport à ma santé car Thierry me disait que c'était rien que j'allais retrouver ce que j'avais laissé en sport, une espéce de victoire intérieure, personnelle, une fierté de dire j'y arrive et pour que LUI soit fiére de dire "alors, tu vois j'avais raison" c'est con mais ainsi, on en a tellement parlé de mes craintes et lui me disait tout le temps, "c'est rien"...".tu verra"..
Thierry me dit que je vais réussir à récupérer le rythme de course que j'avais avant d'etre malade, il y croit; donc j'ai la gnack, même si c'est dur.
Quand je cours comme aujourd'hui et que je mets la pillule à un mec du club tu ne peux pas imaginer ce que je ressens comme satisfaction perso, le fait que je puisse etre devant quelqu'un, de plus un homme (hé hé) sportif.
Quand j'arrive prés du but, je ne pense qu'à lui, à cette force qui me pousse, qui pousse mes jambes, ma respiration, comme un cri à l'intérieur, envie de tout donner ce que j'ai dedans, je pense fort à lui qui croit en moi, à lui qui ne peut pas courir, je ne pense à rien d'autre, je le vois sur le côté je sais je suis folle mais c'est ainsi et il me dit ," t'es une sacrée femme" "tu vas y arriver"....
Mon bandana sera, je le promets, toujours avec moi lors de toutes mes sorties en courses.
Cette rencontre m'a marquée à vie, Milou....
je t'embrasse et je serai, par la pensée, trés trés fort avec vous....
Nany, j'aime tellement te lire quand tu parles de Papa. Je passe en ce moment d'un stade " je rigole" avec l'histoire de la Canapep's à un stade " je suis ému". J'apprends des choses sur Papa, cela est un réel plaisir même si je savais déjà que je ne connais pas d'Homme sur Terre qui est un coeur plus pur et plus généreux que celui de Papa. Je ne dis pas cela parce que c'est mon père mais parce que je le pense. J'aimerais tellement être comme lui, mais il m'arrive de me dire que cela est impossible. Une fois ma grand mère m'a dit: " Tu ne lui arrive même pas à la cheville". Tu ne t'imagines pas à quel point j'ai pu souffrir de cette phrase et à quel point cela me fait mal quand j'y repense. J'essaye moi aussi d'être généreux. je fais comme je peux. La dernière fois tiens j'ai été faire mes courses et devant le supermarché il y avait une assos avec un caddie qui demandait aux gens de participer pour les personnes les plus démunis de Creil. Eh bien cela m'a fait mal au coeur quand j'ai lu que des gosses avait besoin de gateaux de lait de jus de fruit..... Même si je n'ai pas forcément les moyens de me le permettre je n'ai pas pu m'empecher de participer. Le même jour je croise une femme sur le parking " svp aidez moi je suis en panne avec ma voiture je n'ai qu'un chéquier et la caissière de la station essence n'est pas la. Vous pouvez me préter votre tel?" alors je lui passe et sa ne répond pas.( pas de caissière car c'était le 11 novembre 2006) Elle tente à mainte et mainte fois d'appeler le num mais pas de réponse. Alors Thom et moi ( car il m'emmene faire les courses parfois) on va avec elle dans auchan pour savoir s'ils veulent bien qu'elle fasse un chèque contre de l'espèce mais rien à faire, un buraliste même chose. Je lui aurait bien donné de l'espèce contre un chèque, Thom m'en a dissuadé et je sais qu'il a eut raison, je ne pouvais pas savoir si elle avait de l'argent même si ses pleurs et le fait qu'elle avait des enfants dans la voiture me fesait "pitié". La fin de l'histoire c'est qu' elle a essayé d'appeler une dernière fois et sa a rep. Elle était soulagé. Voilà j'avais besoin de parler un peu Bisous Nany je t'aime fort. Il me manque tellement...
Encore une anecdote émouvante qui prend au trippe. Je regrette de ne pas avoir connu Thierry assez longtemps. En même temps, par tes mots je reconnais bien là sa gentillesse extrème et son attention envers les autres. Merci Nany
Nany, je l'imagine avec son bouquet ça ne m'étonne pas de lui, mon cousin au grand coeur. Ton commentaire est très touchant, je l'ai relu plusieurs fois ! bisous ma p'tite Nany
J'avais rencontré Thierry la première fois au bras de notre Nany. C'était lors d'une fête familiale. Notre passion commune pour la moto nous avait fait échangé quelques mots. Thierry discret et moi réservé nous avait empêché de nous connaître plus que ça. Heureusement que Nany était là pour enclencher les conversations. Quelques mois plus tard, je retrouve Thierry lors d'une soirée organisée par une association dont je faisais partit à l'époque. Nous discutons un peu plus longuement, nous apprenons à nous connaître un peu. Au cours des conversations, il me dit qu'il a de grosses enceintes dont il ne se sert plus et qu'elles seraient mieux au sein de l'asso. Je ne prête pas trop d'importance à cette proposition me disant que Thierry a dit ça "comme ça" Quelques jours plus tard, un coup de fil de Nany qui me dit qu'elle passe avec Thierry. Et les voilà qui arrivent, la golf en position break pour accueillir la première enceinte. Incroyable, je connais à peine Thierry que déjà il offre avec plaisir ses enceintes mais en plus c'est lui qui les livre malgré les kilomètres qui nous séparent.
Nany a raison, la bonté, la gentillesse de Thierry sont hors paires. Un homme admirable que je regrette de ne pas avoir connu plus tôt et de l'avoir perdu si rapidement. Thierry est un frère que j'aurais aimé gardé à mes cotés.
la bonté, la gentillesse, toujours à l'écoute des autres oui c'est Thierry, comme vous le dîtes il est hors du commun, pourquoi c'est abruti nous l'a enlevé si tôt alors qu'il avait encore plein de choses à faire, et de plus il aurait très complice avec Nathan, j'imagine Nathan lui raconter toutes ses petites histoires avec les filles pour sûr il lui aurait "fais attention, ne te laisse pas avoir !!!" celle ci oui mais par contre pas celle là...mon pauvre cousin je ne peux croire ni admettre cette réalité, ça me fait mal et je repense à tout ce que nous avons échangé juste avant, nos rigolades et ce petit signe avant d'aller rejoindre Nathan ! une envolée de bisous pour toi mon p'tit cousin;
ton histoire de bouquet de fleurs avec la caissiere me touche particulierement car je suis moi meme une caissiere et forcement je me dis quelle generosite car franchement ca ne m'est jamais arriver decidement il est vraiment exceptionnel mon petit parrain....
souvent je suis triste car d'une part il est plus la , et aussi parce que je le voyais pas beaucoup et des fois je suis en colere apres lui (et oui ca m'arrive )car il s'est eloigner de nous et deja avant ca me faisait chier mais aujourd'hui c'est encore pire .
j'aurai voulu qu'il connaisse la femme que je suis devenue,mes filles qu'il aurait sans doute adoré,qu'il fasse partie de ma vie tout simplement pas en tant que parrain mais en tant qu'homme .
je suis tellement fier de l'avoir eu en tant qu'oncle et de parrain , je l'admirai tellement il me semblait si mysterieux qu'il m'attirait beaucoup .
aujourd'hui je suis triste car plus jamais je ne le verrai et plus jamais il me connaitra ....
Les enceintes..... putain je m'en rappelle comme ci c'était hier....
Je me suis faite opérée en décembre 2003 et comme c'était pour mon sein, lje ne savais pas encore jusqu'ou cette merde allait et comment cela allait se passer pour moi. Je devais l'apprendre à mon réveil. Je ne voulais personne, excepté mon frére Philou (motard et fou de Thierry) qui me connait parfaitement et pouvait sortir de la chambre et respecter sans que je parle.
Mais notre Thierry ne pouvait pas rester loin de moi sans le voir.... Il est arrivé à Curie, je venais d'apprendre.... je pleurais et je dormais entre deux... Mon frére sort dans le couloir avec pour lui expliquer.
Il revient, il a passé 2 heures (vraiment 2 heures)assis, un bras de chaque coté de mon buste à 10 cm de mon visage, je le voyais flou, je voyais que ses yeux, je sentais sa respiration, je voulais qu'il parte mais il restait.... Et me répétait, "ha la la, mais ca va allere et soupirait, et me disait qu'il avait mal aux bras en restant ainsi, mais c'était pas grave, j'ai un souvenir hyper net (malgré le flou de mes yeux).
A ma sortie, il a voulu venir me chercher, j'étais pas trés en forme moralement et avait trés envie de rentrer vite chez moi m'enfermer je n'avais pas prévue de soutif pour aprés l'opération, les médecins ne disent pas tout, donc le moindre bouge de mon corps me faisait trés mal. Je pouvais prendre un ambulance, mais il voulait tant venir, c'était son plaisir, j'ai insisté pour lui demander si il connaissait le chemin dans Paris, car moi j'étais à l'ouest et je ne voulais pas penser. En ambulance nous aurions du mettre 40 mn maxi.
Il me dit oui oui je connais bien, et..........nous avons mis 2h30 il ne connaissait pas du tout. Il m'a fait visiter Paris en golf....
Le seul repére qu'il avait à ce moment, c'est un resto ou il mange le midi quand il va chez le fils de son Altesse faire le jardin. C''est le vieux paris, un super resto.. Et pour lui c'était évident, le resto devait etre pas loin donc.... Mais non le resto était vers Notre Dame.
Sa facon de s'occuper de moi, sans bruit.....
La prochaine fois, je vous raconte le resto au Vieux Paris.... Soirée d'une Princesse et la Princesse c était MOI.
je vous embrasse trés fort. Des moments toujours trés durs à écrire. Il manque tellement fort.....Quand j'écris je suis dans l'histoire, dans le moment, avec l'odeur, les détails qui apparaissent et qui font trés mal.
17 mois se sont écoulés et rien n'apaise notre douleur. Les jours, les mois tu es toujours auprès de nous mon pt'tit Thierry. Quoi faire, quoi dire sinon nous rapprocher les uns des autres, parler de toi et pendant ces moments nous ne pensons pas que tu n'es plus là car tu es présent dans nos coeurs. Lorsque je regarde tes photos j'ai l'impression que tu vas dire quelque chose, que tu vas me raconter une blague oui c'est vrai alors je repense à notre rencontre en juin et je suis dedans et je rigole toute seule, je me refais le film que nous étions heureux tous les deux de nous voir avec tonton, lui aussi rigolé avec nous, ça fait du bien ces moments ... je n'aime pas le 26, il n'y aurait que moi je l'enlèverais du calendrier, ce jour est trop atroce, de plus un dimanche comme celui du 26 Juin 2005, je suis partie pour ne rien faire sinon que de penser à toi ... cette soirée va encore être terrible je n'ai aucune envie d'entendre le téléphone sonner. Mon p'tit cousin je t'envoie tout plein de bisous, sache que je suis près de toi et essaie de nous envoyer un rayon de soleil pour éclairer cette journée maussade dans nos coeurs, pour moi tu es là, une envolée de bisous pour toi :'-(=
Oui Marie 17 mois ont passés, cela est toujours aussi dur et injuste. Aujourd'hui j'ai envie de partager un morceau d'un chapitre du livre que je suis en train d'écrire. Quand je l'aurais bouclé, j'aimerais tenter ma chance.
Nous sommes le 26 juin 2005, mon papa part ce matin même assez tôt autant que je m’en souvienne. Il part avec ses amis motards, « ses frères de route ». Moi fainéant comme je suis il me semble que j’étais encore couché lorsqu’il est partit. Veuillez m’excuser pour le manque de précision mais certains détails ne me sont pas restés tellement cette journée fut éprouvante pour moi. Mon papa se met donc en route pour sa virée avec les motards de son association « Les V.T Errant’s ». Je me retrouve donc seul pour la journée dans cette maison du moins à ce que je croyais à ce moment là. La matinée passe quand mon téléphone sonne. C’était mon papa pour me demander si j’allais bien et pour me tenir au courant de sa sortie. A ce moment là je crois d ‘après mes souvenirs qu’il est 13h10. Il me dit donc qu’il va pas tarder à se mettre en route pour revenir à la maison. Moi à l’heure actuelle je crois qu’il est donc bien avec tous ses amis motards mais aussi qu’ils sont tous en moto. Comme d’habitude le petit appel téléphonique se termine par un « bisous ». La journée continue de se passer avec le fil du temps comme chaque jour à son habitude. Je m’occupe en son absence en faisant diverses choses dans mon après midi. Il arrive le moment où il est 19h. Mon père avait toujours pour habitude de me prévenir lorsqu’il ne rentrait pas manger. Mais pas de nouvelles de lui alors je me dis qu’il est sur la route en moto il ne peut pas me téléphoné en roulant comme il aurait pu le faire vite fait s’il était en voiture. Mon inquiétude n’est donc pas encore vraiment présente. C’est seulement vers les alentours de 20h que mon inquiétude commence à se faire ressentir, pour autant je n’ai pas tenté de le joindre je savais qu’il était avec ses amis, enfin à ce que j’en pensais. Les aiguilles du quadrant poursuivent leur route laissant place à de nouvelles heures. Nous atteignons maintenant les environs de 22h je ne saurais donner d’heure précise. Vous vous doutez bien que depuis tout ce temps où je suis resté sans nouvelle mon inquiétude a eut le temps de prendre le dessus sur moi. Quand tout à coup mon téléphone sonne. Sur le coup je suis rassuré je me dis c’est lui c’est bon il va arriver. Mais non se n’était pas lui. Je décroche car c’est un numéro que je ne connais pas. C’était Joffrey celui dont je vous ai parlé dans un des chapitres ultérieurs le fils de mon ancienne belle mère. Alors tout content d’avoir de ses nouvelles je commence à essayer d’instaurer un dialogue quand tout à coup je me rend compte qu’il ne m’appelle pas pour faire la discussion. Le ton de sa voix est hésitant, triste et fragile. Il me dit approximativement « C’est ton père il a eut un accident ». La panique m’envahit. La réponse réflexe fut à ce qu’il m’en reste comme souvenir « il est à l’hôpital? ». Je m’attendais à ce qu’il est eut un accident pour que Joffrey m’appelle pour me parler de mon père. A vrai dire avec tout le temps passé j’avais déjà pensé malheureusement à cette éventualité. Là j’apprends malheureusement qu’il n’est pas question d’un simple accident, qu’une hospitalisation n’est pas à l’ordre du jour. Joffrey me fait comprendre que l’accident est beaucoup plus grave que cela. Je ne m’attends donc plus à voir mon père à l’hôpital avec quelques ecchymoses. « Il est décédé » fut la phrase de Joffrey. Phrase poignante dure à digérer et dure à comprendre sur le moment. Évidement je fonds en larmes en raccrochant. Je suis seul chez moi et j’apprends que mon père est décédé. Que faire hurler, m ‘enfermer jusqu’à ne plus pouvoir survivre, me vider de mes larmes jusqu’à ce qu’une personne vienne me chercher. Non je ne pouvais pas faire cela, tout ceci rimait à rien. Alors je sors de chez moi les larmes sinuant sur mon visage attristé en courant chez ma propriétaire qui vivait dans la même propriété que nous. Arrivé devant sa porte je frappe. Son fils m’ouvre elle n ‘était pas là. Il me voit dans mon état et me dit « Que t’arrive-t-il? » je lui rétorque alors « C’est mon père il a eut un accident avec sa moto il est décédé! ». Sidéré sur le coup tout comme je l’ai été il n’y croit pas. Je lui demande alors si je peux utiliser son téléphone pour prévenir ma mère. Sans hésiter il me dit « Oui bien sûr ». Je compose donc le numéro. Le clavier du téléphone est flou pour moi tant mes yeux sont remplis de chagrin. Le 0, le 6 puis les autres chiffres se suivent pour enfin parvenir à appuyer sur la touche d’appel. Ma mère décroche et entend immédiatement que je suis en larmes. Elle me dis « Qu’est-ce qu’il y a? Que t’arrive-t-il? » je lui répond alors « C’est papa il a eut un accident, il est décédé ». Ma mère n’acceptant pas mes larmes me fit souffrir avec ses cris de désespoir tellement ce genre de paroles est dur à accepter. « Mais non c’est pas possible ils se sont trompés se n’est pas lui papa ne peut pas être décédé » fut ses paroles de retour afin de se protéger de ce drame. Comment peut-on se dire qu’une chose aussi affreuse puisse arriver comme cela alors que tout est censé bien aller? La vie est une réalité tellement crue et parfois violente. Je finis par raccroché j’ai prévenue ma mère mais sa situation actuelle ne lui permet pas de m’aider. La personne suivante que je dois prévenir pour ne pas rester seul c’est ma copine Gaëlle. Une fois de plus je vais devoir me confronter à cette réalité que je me refuse de croire. Je vais devoir une fois de plus annoncer le décès de mon père alors que pour moi aussi c’est une chose qui me parait impossible. Je dois encore réussir à parcourir les touches de ce téléphone. De nouveau le 0, 6 puis les autres numéros s’enchaînent. Ma copine décroche et remarque également ma détresse instantanément. « Mon père a eut un accident de moto » fut mes paroles. Comme précédemment avec ma mère, ma copine n’arrive pas à y croire. Sa question de retour si je m’en souvient a été « C’est grave? ». J’ai alors dû lui dire à elle aussi qu’il n’était pas question de blessures ou d’hospitalisation mais que mon papa nous avait quitté. Immédiatement elle alerte ses parents qui sans attendre vont se mettre en route en compagnie de Gaëlle pour venir me chercher. De nouveau je raccroche le combiné. Il ne me reste plus qu’à attendre que ma belle famille arrive. Je ne sais plus si à partir de ce moment là j’ai attendu leur arrivée chez moi ou chez ma propriétaire. Ils ne se seront pas fait attendre très longtemps ils finissent par être présent à mes côtés. Enfin pour moi un petit soulagement dans tout ce drame. J’ai enfin l’occasion d’avoir une épaule sur laquelle me poser pour pouvoir pleurer. Ma copine fut très retourné de me voir dans cet état là, chose tout à fait normale. Comment peut-on supporter de voir souffrir la personne que l’on aime sans ressentir une douleur intérieur pour elle et pour nous même? Cela ne serait pas humain. Sa douleur est différente de la mienne certes mais elle bien présente. Elle souffre avec moi car j’ai perdu mon papa mais elle souffre également parce qu ‘elle a perdu une personne qu’elle connaissait, qu’elle estimait autant que je le sache. Ses parents aussi présent à nos côtés étaient sous le choc également. Ils connaissaient vaguement mon père. Je sais que sa mère m’estimait beaucoup mais son père qui était assez froid ne laissait jamais paraître ses sentiments mais je les voyais tout de même tout deux peinés. Je semais autour de moi un environnement de tristesse. Cet accident commençait donc à faire ressentir son désastre et l’ampleur de la situation commençait à peine à se mesurer. A ce moment il est vrai enfin du moins pour ma part que les questions quant à mon avenir ne se posait pas encore. Ou allais-je vivre? Pourrais-je continuer mes études? Est-ce que j’allais survivre à la perte d’un être cher? Comment un adolescent de 18 ans peut accepter de se dire que c’est fini, qu’il ne pourra plus s’épanouir grâce à la présence de son père? ..."
Nous sommes déjà à un mois de Noel, période que je n'ai jamais aimé du fait d'être soit avec ma mère soit avec mon père. Aujourd'hui je la déteste profondément. C'est pourquoi je vous demanderais de ne pas parlé de ce sujet sur le blog. J'ai déjà du mal à voir le petit sapin que ma mère a tenu à mettre dans la salle...
Papa tu me manques plus que tout au monde, jamais je ne t'oublierais. Je t'aime et Je t'aimerais toujours.
cela parait incroyable 10 minutes après mon commentaire nous avions un rayon de soleil, mon cousin je ne fais que de penser à toi en ce 26 dramatique de plus mon frère "piaf"(avec ma belle soeur et ses 2 fils) lui aussi motard est passé nous voir et nous avons fait la dinette, bien sûr nous avons parlé de toi et parlé de nos souvenirs ... bisous p'tit cousin et veille sur nous tous
Je suis très effondrée de ton commentaire Nathan et encore plus d'apprendre que tes proches n'étaient pas avec toi, j'ose espérer qu'ils aient été prévenus plus tard, tout comme moi. Tu penses bien que si j'avais eu la nouvelle avant je serai venue auprès de toi. Le téléphone a sonné et enfin après un long moment tata Andrée a réussi à me dire ce qui se passait, ma première parole était pour toi, savoir où tu étais, elle n'en savait rien mais tu étais au courant, j'ai ensuite appelé mamie elle était avec Christine mais ne savait plus où elle en était, ce qu'elle devait faire ... c'était atroce ... Et tout ça pour un abruti, une fraction de seconde et tout est en l'air, courage mon petit bonhomme. Bisous très fort. Pour NOEL nous respecterons ta volonté je pense que c'est logique, pour toi et pour Thierry, crois moi ces fêtes sont difficiles à passer, je sais ce que c'est, difficile lorsque l'on est jeune mais en vieillissant on y pense encore ...
J'en doute pas que tu serais venu pour être près de moi. De plus je sais que je peux compté sur vous pour ma volonté, il n'y a pas de problème... Bisous fort ma Marie que j'aime
merci Nathan moi aussi je t'aime très fort. Ce soir comme tous les 26 j'ai encore plus les boules. J'entends encore cette sonnerie .. Je ne peux l'admettre
Ton récit me bouleverse. J'en ai les larmes aux yeux. Cette tragique journée était si lourde pour nous que je ne m'étais jamais posé la question sur l'annonce de cet horrible accident. Ton témoignage me bouleverse
quand j'ai appris c'est pepette qui m'a tel .... ensuite l'heure je ne sais plus, c'est le pére de Gaelle qui m'a appelé pour me demander si tout cela était vrai ?
Je ne comprenais plus rien... la tête tournait.... je voulais taper.... me mettre en boule.... me vider la tête, partir en courant pour ... ? je sais pas.
Cette journée est horrible dans tes souvenirs mon grand.
Il n'y a rien à dire, c'est l'horreur. Je pense fort à toi.
Ce soir c'est le réveillon de Noël... je n'aime pas les fêtes. Tu n'es pas là, tu me manques terriblement. Je ne veux pas pleurer alors je me retient. Sache que ce soir tu es dans le coeur de tout le monde et plus particulièrement dans le mien. Des bougies sont allumées devant tes photos pour que tu sois bien présent avec nous. J'ai dit au début du commentaire que je ne pleurerais pas mais les touches me paraissent déjà floues.
Certains jours ne seront plus jamais les mêmes; encore plus que d'autres...
Je viens de rentrer de chez mes parents.... noel....On ne l'a jamais fait labas ensemble.
Tristesse aussi.... A table, à part dire que tu manques trés trés fort à tout le monde, .... que dire au moment d'ouverture de cadeaux quand toi chargé comme un vrai pére noel,tu offres encore et encore.... Les souvenirs montent la larme picote les yeux, mais il ne faut pas pour tout le monde. C'est difficile, mon frére comprend notre échange de regard nous savons que tu es avec nous.
Une année, une boite à biscuits, dedans une spatule en bois, des ciseaux, une bobine de ficelle cuisine.
Des bougies aussi.....Je t'ai dis que j'aimais le sable de déco pour mettre avec mes bougies, le sable arrive .... un blanc, un vert, un rose, un bleu.... des bouteilles d'un litre pleines, tu ne sais pas faire en tout petit alors tu prends tout ce que tu peux. Puis les perles pour déco toujours. Une dizaine de petites boites bleues et tranparentes.... Ce sable et ces perles sont en or dans mon coeur. Elles sont toujours dans mes bougies. J'en ai pour longtemps.C'est bien d'offrir en grand.... Tu as eu une bonne idée.
Mes soirées, où j'allume ces bougies, ces petites flammes qui dansent, montent, chauffent.... autour de mes pensées pour toi.
Chaque noel que je vivrais tu sera toujours présent. Quoi que ma vie me réserve il y aura toujours une trace de toi pour que tu sois avec moi.Cette bougie y sera toujours.
Sommes toujours dans le même désarroi malgré le temps qui s'écoule, nous sommes toujours impuissants devant cette tragédie qui nous marque à jamais, de plus ces fêtes où nous pensons encore davantage et là j'ai vu ta moto et j'en suis encore plus marquée, je ne pouvais imaginer à tel point elle est et du coup je comprends mieux l'embardée que tu as du faire, tout ça pour un abruti et c'est toi mon p'tit cousin qui en a fait les frais, c'est l'horreur. Et celui là a fait Noël avec les siens et nous nous sommes tous tristes de t'avoir perdu, mais nous ne voulons pas l'admettre, pas y croire car on sait que tu veilles sur nous et nous pensons très fort à toi. Je t'aime très fort mon p'tit cousin et t'envoie tout plein de gros bisous
Oui une énorme pensée pour toute votre 'petite grande' famille.
Pour toi Thierry, je me dis 2007 nous allons sur 2 ans. j'y crois toujours pas. Ca fait toujours faux, je dis toujours que tu es partis jamais autre chose, j'y arrive pas. Un bisou.
Pour toi mon grand, je t'embrasse avec tout mon coeur.
Aujourd'hui samedi 13 Janvier la maison de tes parents est vendue. Maintenant il ne nous reste les souvenirs et combien de souvenirs !!!! tous ces bons moments passés tous ensemble, le temps du bonheur, le temps de l'insouciance, le cerisier, la balançoire où il n'y avait pas assez de places pour tout le monde, la grande allée du jardin où l'on faisait des courses à pied, mais aussi en vélo, le noisetier où l'on arrachait des branches ...on piétinait le jardin ... mon dieu que nous étions bien tous ensemble, que l'on a bien fait d'en profiter ...et après nous avons commencé les chagrins un drame, puis deux, puis ... et à l'heure actuelle heureusement que nous restons tous en contact, bien sûr il y a un manque mais de parler de tout ça nous fait du bien. Lorsque j'ai su que la signature était aujourd'hui je n'ai pu m'empêcher de penser encore plus à toi, me dire comment aurais tu pris la chose ? et parrain ? mais il faut se rendre à l'évidence une maison fermée ne s'arrange pas, mais c'est dur de se dire qu'elle est pour nous fermée à jamais ! Parrain merci pour tout ce que tu a fais pour nous, nous ne pouvons l'oublier.Une envolée de bisous pour toi mon Thierry et pour toi parrain
oui Thierry tu es toujours dans nos pensées, pas un jour ne passe sans que l'on ne parle de toi, c'est toujours aussi dur mais tu es toujours là près de nous tous. Le 31 janvier jugement sera fait, du moins nous l'espèrons y voir un peu plus clair sur cette tragédie qui nous mine, rien ne changera bien sûr, les faits sont là. Aujourd'hui tu nous envoie un rayon de soleil, c'est comme si tu nous faisais un clin d'oeil et que tu veux dire que tu es là et que tu veilles sur nous tous. Ton petit bonhomme est courageux malgré les moments de cafard, il sait que tu veux qu'il s'en sorte et que tu es près de lui. Une envolée de bisous pour toi mon p'tit cousin et pour toi parrain.
Oui Marie, comme tu l'as dit 19 mois ce jour... J'ai pourtant encore l'impression que c'est plus rescent... le temps passe sans toi... Tout est différent, plus rien ne sera jamais comme avant...
La vie est injuste, mais il faut se battre, ne jamais baisser les bras...
Oui demain 31 jenvier, journée difficile, journée d'angoisse pour tous et surtout pour toi mon p'tit bonhomme, devoir affronter cet individu qui, je l'espère, aura au moins une parole pour toi Thierry. Nathan il faut que tu tiennes le coup, surtout ne t'emballe pas, je sais facile à dire, ton avocate sera avec toi tu te sentiras épaulé et n'oublie pas, tu peux m'appeler avant l'audience si tu veux, après aussi tu sais que je suis toujours à ton écoute.Au bureau je vais laisser mon portable branché, donc pas de souci tu m'appelles autant que tu veux.Courage mon p'tit bonhomme, essaie de dormir un peu, je te fais d'énormes bisous ta Marie qui t'aime. Pour toi Thierry je souhaite que justice soit faite pour ton départ précipité qui nous a bouleversé. Une envolée de bisous
Je ne suis pas passée le 02, c'est vraiment dur trop dur ..... comment oublier ce jour ? ta journée à toi. Encore des souvenirs qui jaillissent et font mal. Cela fait deux anniversaires que tu n'es pas là.... j'ai les boules ce jour n'est plus le jour des crêpes comme quand j'étais petite. Il est triste, il fait mal....
Ces putains de crepes !!!
Je pense tout le temps à toi.... tu es dans moi à jamais.
Comme toi, Milou je laisse un petit mot. Merci pour le tient.
Aujourd'hui je suis passé à Montdidier, je t'ai déposé des fleurs et une rose pour ton anniversaire. J'ai également déposé des fleurs à Papy ( sa tombe est triste, on ne dois pas beaucoup passer le voir ).
Tu aurais dû avoir 47 ans, mais on ne t'en a pas laisser la chance. La vie est vraiment parfois injuste.
oui mon p'tit cousin tu aurais 47 ans aujourd'hui si un abruti ne t'avait pas enlevé ce plaisir de fêter ton anniversaire parmi les tiens, avec Nathan surtout. Quoi dire, quoi faire ? Cette journée a été pénible aussi, beaucoup de pensées pour toi, pour Nathan, pour ta mère et tout ce qui te sont chers. Tout le monde parle de toi et c'est très important de savoir que tu nous manques énormément. Je devais aller à Montdidier te voir mais je n'en ai pas eu le courage, ça me fait mal mais je te promet que je viens te voir la semaine prochaine. Gros bisous mon Thierry, je t'en fais 47, tu dois te dire c'est bien de "la Marie ça" avec ton air coquin et plein de malice, ton petit clin d'oeil restera à jamais dans mon coeur. Nous pensons très fort à toi. Tu nous manques.
Je suis certaine qu'une fois de plus tu dois être très fier de ton p'tit bonhomme. Il s'accroche et réussit dans ce qu'il entreprend. Une envolée de bisous pour toi mon p'tit cousin.
Tu es à jamais dans mon coeur, les larmes couleront longtemps avant que je puisse penser à toi sans que cela serre fort cette gorge. Que le papillon t'apporte mes bisous, mes pensées, mon manque, qu'il te dise dans le creu de l'oreille combien tu me manques....... Je veux que ce papillon revienne à son tour me voir, comme tu sais le faire, j'y crois, j'aime, je veux qu'il se pose, reste et que par la pensée nous puissions nous parler. Si seulement...
Tu as raison Nany je n'arrive toujours pas à m'en remettre. Mais qu'est-ce que ça veut dire ! pour eux le départ de Thierry ne représente rien ? ils n'ont besoin que de fric dans leur caisse ! c'est du n'importe quoi. Il faut mieux être abruti, faire n'importe quoi et tu t'en sors alors que nous pour une bagatelle on se taperait un max. Qu'il continue comme ça il finira peut-être président ! c'est vraiment du n'importe quoi. De plus ce n'est quand même pas une bagatelle, Thierry n'est plus là et ils ne sont même pas insensibles à ce fait ! je n'y comprends plus rien. Bisous
Un mois de plus vient de s'écouler en ton absence... Toujours le même refrain Toujours le même quotidien Que dire à part que l'on pense Toujours à son père Qu'on l'aime énormément Voir plus facilement Et que sans lui on perd bien des repères
J'ai pensé à toi toute la journée mon cousin, de plus je suis allée sur Péronne je viens de rentrer et j'ai suivi une moto non éclairée je n'ai pas eu le courage de doubler ... alors j'ai en plus fait une partie de la route avec toi. Nathan a raison tu nous manques toujours autant, on a l'impression que tu vas arriver et dire je fais un tour la Marie ...Oui j'aimerais tant entendre celà !!! tu es toujours présent dans nos coeurs mon Thierry. 20 mois c'était la galère et c'est toujours la même chose. Une envolée de bisous pour toi et un petit clin d'oeil comme tu sais si bien les faire.
J'ai tellement envie de te voir, te parler... Te dire que :
Madame la Justice.... A combien estimez-vous le manque de chacun de nous ? ce vide que l'on n'arrive pas à combler, à ces photos que l'on regarde mais que l'on fini par connaitre par coeur, le regard qui ne bouge plus, le manque de nouvelles photos... de nouvelles expressions, de nouvelles fêtes.... On fait comment nous ? Cette photo qui est couverte de rouge à lévres à force de bisous.
Moi, Madame la Justice, je donnerai cher pour avoir un vrai bisou sentir la chaleur de cette peau.... Juste un seul.... mais surement pas quelques euros. Tout cela n'est que mascarade et foutage de coeur.
Mais dans ce coeur elle n'a pas compris que tu y es toi et que tu habites plein de coeurs....
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Tribune
LeFiston : Je viens de créer un nouvel article pour papa. Veuillez désormais écrire dans la rubrique "Dans nos coeurs" article "4 ans après".Merci. Bisous LeFiston : Je mettrais prochainement (enfin cette année disons) le blog à jour. Bisous MARIECL : OK pas de problème, fais ce que tu as à faire c'est le plus important dans l'immédiat !
merci pour la rubrique !
bisous MARIECL : Nathan comment vas-tu ?
Sylvie ?
bisous LeFiston : 17.02.11: je suis passé par là, cela faisait un moment que je n'y étais pas venu... il y a du boulot à faire mais je manque de temps et je pense que la CBF est maintenant morte... enfin cela reste et restera un lien d'échange et de mémoire. bisous
à 07:19